Toujours, d’après les statistiques, la répartition par pays du flux des investissements directs étrangers place la France en première position avec 446,8 MD soit 32,5% du total des investissements hors énergie. Le Qatar est en deuxième position avec 282,2 MD, l’Italie troisième avec 184,9 MD, l’Allemagne quatrième avec 120,4 MD et la Suisse en cinquième position avec 40,6 MD.

Ces indicateurs montrent que le compte est bon pour les investissements directs étrangers en Tunisie cette année mais les dynamiser davantage en tant que levier crucial de la croissance et rendre le pays de plus en plus attractif est le vrai chantier qui doit être la priorité de l’action des autorités concernées.

Cela signifie une révolution réglementaire, une simplification des procédures administratives et des investissements pesants en infrastructures, qui peuvent faire l’objet de PPP et ce, pour concrétiser un plan de développement clair et prospectiviste.